Marre de ne rien faire suite à la santé de Bernard. . .
... Tiens ça va bien aujourd'hui. . . Marre de n'avoir jamais visité les châteaux de Bavière . . .10 ans qu’on en parle. . . .Il est 10 heures du matin, ce 2 janvier 2009 et Maguy s'écrit : On y va !
Pour nous, c'est presque l'aventure, en effet nous n'avons rien retenu: ni resto, ni hôtel et surtout Bernard n'a pas regardé la carte. Du jamais vu dans les anales familiales.
Il est 14 heures quand nous partons pour les 400 km de trajet et enfin découvrir les châteaux de Louis II de Bavière.
. Maguy est en pleine forme, elle va conduire tout le temps.
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Chateaux de Bavière
- Oberammergau
Nous arrivons à Oberamergau à 19h45. Il nous faut trouver un hôtel, en pleine nuit avec le chien, dans une ville inconnue et surtout touristique en pleine période de Noël: c'est pas gagné!
photo suivante
Le premier rencontré est plein, mais nous trouve des places pour cette nuit . Nous nous installons et revenons au restaurant (très allemand dans sa décoration - "Gemütlich" selon Maguy).
Très vite le serveur (plutôt chic) apporte un morceau de saucisse et une gamelle d'eau pour le chien, qui bien sûr est ravi surtout que ce soir il dormira dans la chambre (Le grand luxe) ...Ah l'accueil des animaux dans les hôtels allemands. On est loin de la France! photo suivante
Une caractéristique du village d'Oberammergau est le « Lüftlmalerei », c'est-à-dire des façades peintes . . .
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... qui parfois racontent des histoires bien connues des petits français photo suivante
Au XVIIIe siècle, des citoyens et agriculteurs aisés ont fait décorer leurs façades avec des motifs religieux. photo suivante
D'autres montrent des scènes de la vie agricole . . . photo suivante
<
. . . Où encore de la vie du village photo suivante
L'église . . . photo suivante
. . . est en pur style Rococo. . . photo suivante
. . . dans tous ses éléments. photo suivante
Pour finir la visite . . . photo suivante
. . . encore quelque facades peintes . . . photo suivante
. . . vues de nuit. . . photo suivante
. . . sans oublier que nous sommes proche de Noël. . . photo suivante
. . . et qu'il fait bon être dehors sur la terrasse par -15° photo suivante
On ne peut quitter Oberamergau sans évoquer l'histoire de la passion du Christ:
En 1633, en pleine guerre de Trente Ans, la peste ravage, des mois durant, la ville d'Oberammergau, faisant 84 morts parmi les habitants. Les édiles font alors le serment d'effectuer tous les dix ans un « Jeu de la souffrance, la mort et la résurrection de Notre Seigneur Jésus-Christ », si le « Tout-Puissant » détourne le mal de la cité. L'appel entendu, à la Pentecôte 1634, ils remplissent leur engagement pour la première fois, jouant la Passion du Christ sur une scène qu'ils installent dans le cimetière au-dessus des tombes des victimes de la peste.
Aujourd'hui, le texte et la musique ont été fondamentalement revus, de même que la scénographie et les costumes. Plus de 2000 habitants de la ville, acteurs, chanteurs, instrumentistes et techniciens de scène participent au « Jeu de la Passion » six heures durant.
Le premier rencontré est plein, mais nous trouve des places pour cette nuit . Nous nous installons et revenons au restaurant (très allemand dans sa décoration - "Gemütlich" selon Maguy).
Très vite le serveur (plutôt chic) apporte un morceau de saucisse et une gamelle d'eau pour le chien, qui bien sûr est ravi surtout que ce soir il dormira dans la chambre (Le grand luxe) ...Ah l'accueil des animaux dans les hôtels allemands. On est loin de la France! photo suivante
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Au XVIIIe siècle, des citoyens et agriculteurs aisés ont fait décorer leurs façades avec des motifs religieux. photo suivante
D'autres montrent des scènes de la vie agricole . . . photo suivante
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. . . Où encore de la vie du village photo suivante
L'église . . . photo suivante
. . . est en pur style Rococo. . . photo suivante
. . . dans tous ses éléments. photo suivante
Pour finir la visite . . . photo suivante
. . . encore quelque facades peintes . . . photo suivante
. . . vues de nuit. . . photo suivante
. . . sans oublier que nous sommes proche de Noël. . . photo suivante
. . . et qu'il fait bon être dehors sur la terrasse par -15° photo suivante
On ne peut quitter Oberamergau sans évoquer l'histoire de la passion du Christ:
En 1633, en pleine guerre de Trente Ans, la peste ravage, des mois durant, la ville d'Oberammergau, faisant 84 morts parmi les habitants. Les édiles font alors le serment d'effectuer tous les dix ans un « Jeu de la souffrance, la mort et la résurrection de Notre Seigneur Jésus-Christ », si le « Tout-Puissant » détourne le mal de la cité. L'appel entendu, à la Pentecôte 1634, ils remplissent leur engagement pour la première fois, jouant la Passion du Christ sur une scène qu'ils installent dans le cimetière au-dessus des tombes des victimes de la peste.
Aujourd'hui, le texte et la musique ont été fondamentalement revus, de même que la scénographie et les costumes. Plus de 2000 habitants de la ville, acteurs, chanteurs, instrumentistes et techniciens de scène participent au « Jeu de la Passion » six heures durant.
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Château du Linderhof
Notre première visite est pour le château de Linderhof situé dans la vallée du Graswang.
Ce château est le plus petit des trois édifices construits pendant la période du règne du roi "Louis II de Bavière. C’est également le seul château dont la construction fut achevée de son vivant !
Nous arrivons au parking vers 10h45. Peu de monde en cette période. Il faut dire que par mesure de sécurité, les accès à la forêt et à une grande partie du parc sont interdits.Si la neige donne un aspect féérique au lieu, elle prive l'accès à des vues surement splendides. La visite à lieu en Allemand ou en Anglais, mais pour les autres nationalités, des livrets reprennent avec précision ce que commentent les guides.. suite
Avant de démarrer la visite, un peu d'histoire:
Tout comme le château de Herrenchiemsee devait être une copie de Versailles, Linderhof a été inspiré du petit Trianon situé dans les jardins de Versailles.
Les rois français Louis XIV, Louis XV et Louis XVI avaient en effet fait aménager dans une partie des jardins de Versailles ( le domaine du Trianon ) des petites résidences paisibles où seuls quelques intimes et privilégiés étaient invités à séjourner avec le roi ; ce que Louis II voulu reproduire dans son palais de Linderhof.
Toutefois, l’assemblage étonnant d’une construction en rococo, de jardins en terrasses inspirés de la Renaissance italienne et d’un parc à l’anglaise, donne au site un charme particulier
La chambre à coucher est copiée sur celle du roi de France Louis XIV : une balustrade sépare le lit à baldaquin de l'auditoire censé assister au lever du roi.
Louis II détestait la présence de témoins. La salle à manger était équipée d'une plateforme sur laquelle était posée la table. Cette plateforme coulissait jusqu'à l'étage d'en dessous, où se trouvaient les cuisines. Ensuite, la table remontait avec le repas ; le roi n'avait donc pas à croiser les serviteurs.
Les jardins du Linderhof sont une pièce maîtresse du site. L'architecte paysagiste Carl von Effner, qui dirigea l'aménagement du parc, a tiré parti des pentes du vallon pour installer bassins, cascades et jardins en terrasses. Le parc s'étend sur plusieurs hectares. suite
En passant au dessus de quelques barrières, nous avons tout de même réussi à faire un tour dans le parc. photo suivante
Vue sur le kiosque qui domine le chateau. photo suivante
Partout des chemins recouverts, sous lesquels il doit l'été faire bon se promener. photo suivante
Quel environnement magestueux ! photo suivante
Pour finir notre visite quelques vues de l'interieur. photo suivante
. . . photo suivante
. . . photo suivante
Entre le château du Linderhof et Oberammergau, la route traverse le petit village de "Graswand, adorable village qui semble être sorti d'un compte de fées.
Malgré le magnifique soleil, la température ne dépasse pas les -13°, mais le contraste entre la neige les montagnes et le bleu du ciel est exceptionnel !!! photo suivante
La chapelle . . . photo suivante
. . . et son balcon peint. photo suivante
La route du retour serpente dans la forêt verglacée.
Ce château est le plus petit des trois édifices construits pendant la période du règne du roi "Louis II de Bavière. C’est également le seul château dont la construction fut achevée de son vivant !
Nous arrivons au parking vers 10h45. Peu de monde en cette période. Il faut dire que par mesure de sécurité, les accès à la forêt et à une grande partie du parc sont interdits.Si la neige donne un aspect féérique au lieu, elle prive l'accès à des vues surement splendides. La visite à lieu en Allemand ou en Anglais, mais pour les autres nationalités, des livrets reprennent avec précision ce que commentent les guides.. suite
Avant de démarrer la visite, un peu d'histoire:
Tout comme le château de Herrenchiemsee devait être une copie de Versailles, Linderhof a été inspiré du petit Trianon situé dans les jardins de Versailles.
Les rois français Louis XIV, Louis XV et Louis XVI avaient en effet fait aménager dans une partie des jardins de Versailles ( le domaine du Trianon ) des petites résidences paisibles où seuls quelques intimes et privilégiés étaient invités à séjourner avec le roi ; ce que Louis II voulu reproduire dans son palais de Linderhof.
Toutefois, l’assemblage étonnant d’une construction en rococo, de jardins en terrasses inspirés de la Renaissance italienne et d’un parc à l’anglaise, donne au site un charme particulier
La chambre à coucher est copiée sur celle du roi de France Louis XIV : une balustrade sépare le lit à baldaquin de l'auditoire censé assister au lever du roi.
Louis II détestait la présence de témoins. La salle à manger était équipée d'une plateforme sur laquelle était posée la table. Cette plateforme coulissait jusqu'à l'étage d'en dessous, où se trouvaient les cuisines. Ensuite, la table remontait avec le repas ; le roi n'avait donc pas à croiser les serviteurs.
Les jardins du Linderhof sont une pièce maîtresse du site. L'architecte paysagiste Carl von Effner, qui dirigea l'aménagement du parc, a tiré parti des pentes du vallon pour installer bassins, cascades et jardins en terrasses. Le parc s'étend sur plusieurs hectares. suite
En passant au dessus de quelques barrières, nous avons tout de même réussi à faire un tour dans le parc. photo suivante
Vue sur le kiosque qui domine le chateau. photo suivante
Partout des chemins recouverts, sous lesquels il doit l'été faire bon se promener. photo suivante
Quel environnement magestueux ! photo suivante
Pour finir notre visite quelques vues de l'interieur. photo suivante
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Entre le château du Linderhof et Oberammergau, la route traverse le petit village de "Graswand, adorable village qui semble être sorti d'un compte de fées.
Malgré le magnifique soleil, la température ne dépasse pas les -13°, mais le contraste entre la neige les montagnes et le bleu du ciel est exceptionnel !!! photo suivante
La chapelle . . . photo suivante
. . . et son balcon peint. photo suivante
La route du retour serpente dans la forêt verglacée.
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